Association genevoise du musée des tramways
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Paris - Saint-Germain-en-Laye / Jean-Pierre Comes in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 413 (Septembre/Octobre 2022)
[article]
Titre : Paris - Saint-Germain-en-Laye : une ligne chargée d'Histoire et d'histoires Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Comes, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 4-13 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Ile-de-France
[Mots-clefs] Mise en service
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Modification
[Mots-clefs] Paris
[Mots-clefs] RER
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Seine-et-Oise (département)
[Mots-clefs] St-Germain-en-Laye
[Mots-clefs] Traction à vapeur
[Mots-clefs] Traction atmosphérique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Mots-clefs] Ville de Paris (département)
[Mots-clefs] Yvelines
[Compagnie] CFPSG
[Compagnie] ETAT
[Compagnie] OUEST
[Compagnie] RATP
[Compagnie] SNCF
[Ligne] Boissy-St-Léger
[Ligne] Le Pecq
[Ligne] Marne-la-Vallée
[Ligne] Paris-St-Lazare
[Ligne] St-Germain-en-Laye
[Année] 1827-2022Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : La première ligne de chemin de fer française est mise en service entre St-Etienne et Andrézieux en 1827. En 1832, les frères Pereire obtiennent la concession pour une ligne de Paris à St-Germain-en-Laye. Elle est inaugurée jusqu'au Pecq le 8 août 1837. Curiosité aidant, le succès est au rendez-vous. Pour atteindre St-Germain, une dénivellation de 51 m doit être rachetée, ce qui entraîne des pentes de 23 à 35 ‰. Par crainte de performance insuffisante des locomotives à vapeur, c'est la traction atmosphérique qui est choisie pour ce tronçon, ouvert le 14 août 1847. Le rendement énergétique et financier déplorable du système ainsi qu'un accident entrainent son abandon en 1859. Les locomotives à vapeur amènent dès lors 16 trains, de 9 voitures et un fourgon, par jour. La ligne est électrifiée par 3e rail en 1926-1927 et des terminus intermédiaires apparaissent à cette occasion. La seconde guerre mondiale entraine la coupure de la ligne au Pecq en raison de la démolition du viaduc sur la Seine. Il ne sera reconstruit que beaucoup plus tard. En 1972, la ligne est intégrée au réseau RER de la RATP. Les gares et quais sont reconstruits, l'électrification passe à la caténaire, le tout sans interruption de la circulation. La transformation de la ligne en RER dope sa fréquentation. En 2022, la ligne, devenue RER A, est la plus chargée du réseau.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 413 (Septembre/Octobre 2022) . - P. 4-13[article] Paris - Saint-Germain-en-Laye : une ligne chargée d'Histoire et d'histoires [texte imprimé] / Jean-Pierre Comes, Auteur . - 2022 . - P. 4-13.
Langues : Français
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 413 (Septembre/Octobre 2022) . - P. 4-13
Catégories : [Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Construction
[Mots-clefs] Electrification
[Mots-clefs] Exploitation
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Guerre 1939-45
[Mots-clefs] Histoire
[Mots-clefs] Ile-de-France
[Mots-clefs] Mise en service
[Mots-clefs] Modernisation
[Mots-clefs] Modification
[Mots-clefs] Paris
[Mots-clefs] RER
[Mots-clefs] Réseau
[Mots-clefs] Seine-et-Oise (département)
[Mots-clefs] St-Germain-en-Laye
[Mots-clefs] Traction à vapeur
[Mots-clefs] Traction atmosphérique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Mots-clefs] Ville de Paris (département)
[Mots-clefs] Yvelines
[Compagnie] CFPSG
[Compagnie] ETAT
[Compagnie] OUEST
[Compagnie] RATP
[Compagnie] SNCF
[Ligne] Boissy-St-Léger
[Ligne] Le Pecq
[Ligne] Marne-la-Vallée
[Ligne] Paris-St-Lazare
[Ligne] St-Germain-en-Laye
[Année] 1827-2022Index. décimale : 4390 Chemin de fer interurbain et vicinal - histoire - généralités Résumé : La première ligne de chemin de fer française est mise en service entre St-Etienne et Andrézieux en 1827. En 1832, les frères Pereire obtiennent la concession pour une ligne de Paris à St-Germain-en-Laye. Elle est inaugurée jusqu'au Pecq le 8 août 1837. Curiosité aidant, le succès est au rendez-vous. Pour atteindre St-Germain, une dénivellation de 51 m doit être rachetée, ce qui entraîne des pentes de 23 à 35 ‰. Par crainte de performance insuffisante des locomotives à vapeur, c'est la traction atmosphérique qui est choisie pour ce tronçon, ouvert le 14 août 1847. Le rendement énergétique et financier déplorable du système ainsi qu'un accident entrainent son abandon en 1859. Les locomotives à vapeur amènent dès lors 16 trains, de 9 voitures et un fourgon, par jour. La ligne est électrifiée par 3e rail en 1926-1927 et des terminus intermédiaires apparaissent à cette occasion. La seconde guerre mondiale entraine la coupure de la ligne au Pecq en raison de la démolition du viaduc sur la Seine. Il ne sera reconstruit que beaucoup plus tard. En 1972, la ligne est intégrée au réseau RER de la RATP. Les gares et quais sont reconstruits, l'électrification passe à la caténaire, le tout sans interruption de la circulation. La transformation de la ligne en RER dope sa fréquentation. En 2022, la ligne, devenue RER A, est la plus chargée du réseau. Le Swissmetro en neuf questions / Philippe H Bovy in Polyrama, 96 (février 1994)
[article]
Titre : Le Swissmetro en neuf questions Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe H Bovy, Auteur Article en page(s) : P. 24-26 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Compatibilité
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Environnement
[Mots-clefs] Europe
[Mots-clefs] Sécurité
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Sustentation magnétique
[Mots-clefs] Swissmetro
[Mots-clefs] Technique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Année] 1994
[Compagnie] SWISSMETRO SARésumé : La fiabilité et la sécurité des technologies proposées sont mises en question, tout comme la nécessité d'innover plutôt que de rechercher la compatibilité dans un domaine où le chemin-de-fer à fait ses preuves, ainsi que l'opportunité de la création d'un nouveau système de transport des voyageurs. Note de contenu : Article
in Polyrama > 96 (février 1994) . - P. 24-26[article] Le Swissmetro en neuf questions [texte imprimé] / Philippe H Bovy, Auteur . - P. 24-26.
Langues : Français
in Polyrama > 96 (février 1994) . - P. 24-26
Catégories : [Mots-clefs] Compatibilité
[Mots-clefs] Economie
[Mots-clefs] Environnement
[Mots-clefs] Europe
[Mots-clefs] Sécurité
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Sustentation magnétique
[Mots-clefs] Swissmetro
[Mots-clefs] Technique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Année] 1994
[Compagnie] SWISSMETRO SARésumé : La fiabilité et la sécurité des technologies proposées sont mises en question, tout comme la nécessité d'innover plutôt que de rechercher la compatibilité dans un domaine où le chemin-de-fer à fait ses preuves, ainsi que l'opportunité de la création d'un nouveau système de transport des voyageurs. Note de contenu : Article Le "Swissmétro", transport interurbain à grande vitesse / Bernard Junod in La plateforme, N° 38 (1990/I)
[article]
Titre : Le "Swissmétro", transport interurbain à grande vitesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Bernard Junod, Auteur ; Rodolphe Nieth, Editeur scientifique Année de publication : 1990 Article en page(s) : P. 43-51 Note générale : Autre publication: Ingénieurs et architectes suisses, 1988, no 21 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Consommation
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Energie
[Mots-clefs] Fréquentation
[Mots-clefs] Grande vitesse
[Mots-clefs] Métro
[Mots-clefs] Rentabilité
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Sustentation magnétique
[Mots-clefs] Swissmetro
[Mots-clefs] Technique
[Mots-clefs] Temps de parcours
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Vide d'air
[Année] 1988
[Ligne] Bâle
[Ligne] Bellinzone
[Ligne] Genève-Cornavin
[Ligne] St-Gall
[Compagnie] SWISSMETRO SARésumé : "Le projet ""Swissmétro"" vise à la réalisation de lignes de métro entre Genève et St-Gall, prolongeable jusqu'à Coire et entre Bâle et Bellinzone, prolongeable jusqu'à Milan. Pour les hautes vitesses envisagées, jusqu'à 500 km/h., il est prévu d'utiliser des véhicules à sustentation magnétique, propulsés par moteur linéaire, dans des tunnels sous vide d'air partiel. Ces trois technologies sont maîtrisées et ne représentent pas de problème particulier. La petite section des tunnels à réaliser présente des coûts relativement faibles, laissant augurer d'une bonne rentabilité du projet. Le confort des voyageurs sera semblable à celui d'un avion. Selon l'auteur, ce projet est important pour permettre à la Suisse de rester à la pointe du progrès."
in La plateforme > N° 38 (1990/I) . - P. 43-51[article] Le "Swissmétro", transport interurbain à grande vitesse [texte imprimé] / Bernard Junod, Auteur ; Rodolphe Nieth, Editeur scientifique . - 1990 . - P. 43-51.
Autre publication: Ingénieurs et architectes suisses, 1988, no 21
Langues : Français
in La plateforme > N° 38 (1990/I) . - P. 43-51
Catégories : [Mots-clefs] Consommation
[Mots-clefs] Coût
[Mots-clefs] Energie
[Mots-clefs] Fréquentation
[Mots-clefs] Grande vitesse
[Mots-clefs] Métro
[Mots-clefs] Rentabilité
[Mots-clefs] Suisse
[Mots-clefs] Sustentation magnétique
[Mots-clefs] Swissmetro
[Mots-clefs] Technique
[Mots-clefs] Temps de parcours
[Mots-clefs] Transport de voyageur
[Mots-clefs] Vide d'air
[Année] 1988
[Ligne] Bâle
[Ligne] Bellinzone
[Ligne] Genève-Cornavin
[Ligne] St-Gall
[Compagnie] SWISSMETRO SARésumé : "Le projet ""Swissmétro"" vise à la réalisation de lignes de métro entre Genève et St-Gall, prolongeable jusqu'à Coire et entre Bâle et Bellinzone, prolongeable jusqu'à Milan. Pour les hautes vitesses envisagées, jusqu'à 500 km/h., il est prévu d'utiliser des véhicules à sustentation magnétique, propulsés par moteur linéaire, dans des tunnels sous vide d'air partiel. Ces trois technologies sont maîtrisées et ne représentent pas de problème particulier. La petite section des tunnels à réaliser présente des coûts relativement faibles, laissant augurer d'une bonne rentabilité du projet. Le confort des voyageurs sera semblable à celui d'un avion. Selon l'auteur, ce projet est important pour permettre à la Suisse de rester à la pointe du progrès." Le train en tube... / Clive Lamming in Transports et patrimoine ferroviaires, N° 413 (Septembre/Octobre 2022)
[article]
Titre : Le train en tube... Type de document : texte imprimé Auteurs : Clive Lamming, Auteur Année de publication : 2022 Article en page(s) : P. 41-46 Langues : Français Catégories : [Mots-clefs] Air comprimé
[Mots-clefs] Angleterre
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Locomotive à air comprimé
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Traction atmosphérique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Compagnie] OUEST
[Ligne] Le Pecq
[Ligne] St-Germain-en-Laye
[Année] 1824-2013Index. décimale : 6105 Technique - véhicule - motorisation, moteur, transmission Résumé : Le premier projet de chemin de fer à propulsion atmosphérique remonte à 1824. Plutôt que d'un vrai projet, il s'agit alors de susciter le doute face aux chemins de fer à traction par locomotives à vapeur en proposant une alternative plus ou moins crédible, afin de faire capoter les projets en cours. Dans les années 1840, des essais sont menés avec un tube fixé entre les rails et la première voiture du train est attachée à un piston qui circule dans ce tube, soit poussé par de l'air comprimé ou par la pression atmosphérique si l'on fait le vide à l'avant du piston. Le problème est de garantir l'étanchéité du tube alors qu'il doit être ouvert dans sa longueur pour permettre la liaison entre la voiture et le piston. Le système ne fonctionnera jamais correctement et sera rapidement abandonné. Une ligne sur laquelle circule une voiture poussée par de l'air dans un tunnel est construite à Londres en 1865, mais on ne sait si elle a duré. Le système avait l'avantage de résoudre le problème de l'étanchéité. Afin de limiter la gravité des accidents, des locomotive à air comprimé sont construites pour remplacer les locomotives à vapeur, mais leur faible autonomie les cantonne aux chantiers de construction des tunnels ou à des embranchements industriels. Le tronçon final de la ligne Paris - St-Germain est mis en service en traction atmosphérique le 14 août 1847. Ce système a été choisi par crainte que les locomotives à vapeur ne puissent vaincre la pente. Mais lors de la construction de la ligne, la locomotive de chantier monte sans problème des convois de 50 tonnes, y compris un train de voyageurs de 4 voitures lors d'une visite du chantier... Une dérive a lieu en 1858 et le système atmosphérique est abandonné en 1859. On ne construira plus de chemin de fer à traction atmosphérique, mais la poste pneumatique parisienne, basée sur le principe d'une capsule voyageant dans un tube, fonctionnera de 1868 à 1984. Le projet de l'hyperloop, présenté en 2013, reprend le principe du train en tube.
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 413 (Septembre/Octobre 2022) . - P. 41-46[article] Le train en tube... [texte imprimé] / Clive Lamming, Auteur . - 2022 . - P. 41-46.
Langues : Français
in Transports et patrimoine ferroviaires > N° 413 (Septembre/Octobre 2022) . - P. 41-46
Catégories : [Mots-clefs] Air comprimé
[Mots-clefs] Angleterre
[Mots-clefs] Chemin de fer
[Mots-clefs] Essai
[Mots-clefs] France
[Mots-clefs] Locomotive à air comprimé
[Mots-clefs] Projet
[Mots-clefs] Traction atmosphérique
[Mots-clefs] Vide d'air
[Compagnie] OUEST
[Ligne] Le Pecq
[Ligne] St-Germain-en-Laye
[Année] 1824-2013Index. décimale : 6105 Technique - véhicule - motorisation, moteur, transmission Résumé : Le premier projet de chemin de fer à propulsion atmosphérique remonte à 1824. Plutôt que d'un vrai projet, il s'agit alors de susciter le doute face aux chemins de fer à traction par locomotives à vapeur en proposant une alternative plus ou moins crédible, afin de faire capoter les projets en cours. Dans les années 1840, des essais sont menés avec un tube fixé entre les rails et la première voiture du train est attachée à un piston qui circule dans ce tube, soit poussé par de l'air comprimé ou par la pression atmosphérique si l'on fait le vide à l'avant du piston. Le problème est de garantir l'étanchéité du tube alors qu'il doit être ouvert dans sa longueur pour permettre la liaison entre la voiture et le piston. Le système ne fonctionnera jamais correctement et sera rapidement abandonné. Une ligne sur laquelle circule une voiture poussée par de l'air dans un tunnel est construite à Londres en 1865, mais on ne sait si elle a duré. Le système avait l'avantage de résoudre le problème de l'étanchéité. Afin de limiter la gravité des accidents, des locomotive à air comprimé sont construites pour remplacer les locomotives à vapeur, mais leur faible autonomie les cantonne aux chantiers de construction des tunnels ou à des embranchements industriels. Le tronçon final de la ligne Paris - St-Germain est mis en service en traction atmosphérique le 14 août 1847. Ce système a été choisi par crainte que les locomotives à vapeur ne puissent vaincre la pente. Mais lors de la construction de la ligne, la locomotive de chantier monte sans problème des convois de 50 tonnes, y compris un train de voyageurs de 4 voitures lors d'une visite du chantier... Une dérive a lieu en 1858 et le système atmosphérique est abandonné en 1859. On ne construira plus de chemin de fer à traction atmosphérique, mais la poste pneumatique parisienne, basée sur le principe d'une capsule voyageant dans un tube, fonctionnera de 1868 à 1984. Le projet de l'hyperloop, présenté en 2013, reprend le principe du train en tube.